Il 15 novembre p.v. L'Amministrazione Comunale di San Giuliano Terme apre la stagione del Teatro Rossini di Pontasserchio, con la direzione artistica di Martina Favilla - Presidente dell’Associazione Antitesi Teatro Circo. Una proposta artistica originale e di grande rilevanza, sostenuta dal Comune di San Giuliano Terme, Regione Toscana, Ministero della Cultura, che posiziona la città di San Giuliano Terme come area della cultura e della multidisciplinarietà con particolare attenzione all’inclusione sociale e alle nuove generazioni, con metodologie innovative.
Quelle tristesse!
Bonjour à tout le monde, je suis très content de commenter pour vous le match Juventus-Inter, ici à Torino; mon journal, “La Voix du Serchiò » m’a envoyé ici pour commenter l’incontre. Mais je suis stupi parce que dans la Juve ne jouent pas Buffon, ni Platini et Bettegà. Pourquoi? Je ne le sais pas: mais aussi dans l’Inter il n y a pas Ronaldò ni Mariolin Corsò (avec ses punitions à la feuille morte!) ni Sandrin Mazzolà. C’est possible que il y a beaucoup d’infortunés, parce que dans l’Inter jouent des jouers que je ne connais pas, par esample Napolì e Armà (il seront peutetre les reserves?). C’est etrange. Dans la Juventus (ou dans l'Inter?) Giovincò reste à la panque. Le match commence et je dois dire que le jeu ne semble pas a l’hautesse du rang des ses grands squadrons, en somme il y a un peu de delusion. En tout cas le match semble equilibré, la Juventus pense peut etre à la Champions Ligue et ne spreque pas les energies pour le match contre le Real Madrid (je ne suis pas sur), l’Inter est très prudent et ne combine granqué. La Juve est un peu plus aggressive et a deux bonnes chances, mais l’Inter se sauve; j’ai comme l’impression que la Juve c’est plus dangereuse. Mais à l’improvis, sur un cornèr, le numero 9 de l’Inter (il s’appelle Armà et je pense qu’il est francais) saut très haut et avec la tete fait un goal très formidable. Mais tout de suite un jouer de la Juve invente une punition à la Platini et le match va en equilibre: 1-1. Mais dans ce moment ici je suis beaucoup distrait, parce que aujord’hui il y a aussi les championats du monde d’athletisme (j’aime ce sport) en Pologne et je regarde les competitions sur mon monitor de service; il y a le saut à la perche des femmes (helàs, sans ma bienaimée Yelena Isinbayeva). Surtout je veux voir le saut en hauteur des hommes, auquel participe le russe Ivan Ukhov, le meilleur sauteur dans le mond; il est sympatique et un pas fou, une fois sa fiancé l’avait laissé et alors il était très triste et a commence à boir des bouteilles de vodka et a partecipé à une competition mais il était completement sbronze et quand il a sauté s’è jeté sur le materasse et ne voulait plus se rialzer, et le public s’est mis a rire beaucoup; un autre fois au jeux olimpiques de Londres il devait sauter et ne trouvait plus le tricot officiel de la Russie et il le cherchait partout, mais il n’a pas trouvé et les juges on lui donné un tricot pas officiel, et après il a sauté et est devenu champion olympique! Parbleu! Dans le frattemps le temps du match termine en parité.
Dans l’interval je regarde l’athletisme; il y a le saut en longueur femmes, et est en tete une jeune anglaise très joli. Je voudrais manger un petit pain, parce que j’ai faim et j’ai fait suelement un petit dejeneur en train. Puis je parle avec un collegue (qui me donne un petit gateau) et je lui dis que je pensais que Torino était plus grande et que Juve et Inter pouvaient jouer mieux que comme ça. Mais, un moment, -grande surprise!- le collegue me dit que nous ne sommes pas à Torino! J’ai pris le train sbaglié! Au contraire je suis à Ascolì, une ville très plus petite que Torino; et les équipes sont Ascolì et Pisa! Maintenant je comprends pourquoi le jeu n’était si bon et pourquoi il n y a pas ni Platini ni Mazzolà. Patience, on doit travailler et on travaillle aussi pour Ascolì-Pisa.
Le jeu recommence, mais je regarde encore un peu de l’athletisme, parce que j’attends de voir la magnifique Dibaba, grande athlete de l’Etiopie, qui gagnera surement la course de 3000 metrès, ah comment elle se promène très legère et superbe! A Ascolì le jeu reste equilibré pour quelques minutes, mais il y a un penalty pour l’Ascolì (et papier rouge pour Kosnic). 2 à 1, et en dix contre onze, c’est vraiment dur pour Pisa. Pisa est genereux et Armà a une grande occasion mais le portier dit «Non! ». Aussi Mannini a une enorme possibilité, mais il spreque, maledition! Et encore une maledition, c'est-à-dire l’expulsion d’Armà (expulsion franquement absurde). Et, merde, à la fin nous avons perdu. C’est la vie!
P.S. Je m’excuse avec monsieur professeur Ovidiò et avec monsieur Baglinì et toute la redaction pour toutes les betisses de cet article (et des autres), mais je veux les consoler parce que c’est un des dernières betisses que je fais sur «La Voix du Serchiò». En effet je pense qu’il est mieux interrompre ces croniques idiotes d’Arbauz à la fin de cette saison. Au revoir.